Baisser les bras n’est pas vraiment la tasse de thé de l’aveyronnais. Sur cette « île entourée de terres » désormais nettement moins isolée et plus du tout déserte, un certain réalisme identitaire est de rigueur et sécrète aujourd’hui une charge d’anxiété mais jamais de découragement.
Nous le savons, 2012 mettra à l’épreuve certaines de nos filières traditionnelles qui risquent notamment de payer le prix de leur dépendance à un pouvoir financier souvent trop éloigné de l’industrie et des territoires.
Pourtant les projets, ceux qui façonneront l’Aveyron de demain, n’ont pas cessé d’émerger et notre année 2012, Ardente, Active, Aveyronnaise aura son triple A.
A tous, j’adresse mes vœux les plus sincères de bonheur, de santé et de réussite dans toutes vos entreprises !